J’ai, avec les larmes, le même problème qu’avec n’importe quel engrenage : j’ignore généralement pourquoi elles commencent (précisément), et comment les interrompre… Durant toute la journée de mardi, j’avais la sensation de les couver, elles affleuraient et je n’arrêtais pas de leur ordonner “pas maintenant, pas maintenant”… Mon sommeil avait été bref, et peu reposant….Lire la suite de « Où il est question d’une visite post-mortem, d’une nausée de non dits, d’un présent en mine de crayons, de l’importance morale du nombre 100, et d’une étoile sur la chaussée * »
“Tu me gonfles ! Je hurle parce que tu me gonfles !” Il s’époumone, rubicond, vocifère et postillonne. J’essuie une trace de salive sur ma joue, crie “je ne peux pas passer deux jours ici sans me faire engueuler ! Je ne reviendrais plus et j’aurais enfin la paix !”, grimpe les escaliers, claque la…Lire la suite de « Cycle circle* »