Je ne veux pas, ou je ne sais pas, poser les accents, placer des nuances, m’étendre, déborder, raccrocher les mots les uns aux autres, leur donner un sens, longuement soigneusement… Le soir venu, il ne reste presque rien de mes journées : quelques sons, une température, des couleurs dissociées… Je les traverse sans les mémoriser….Lire la suite de « Dîtes-leur de m’attendre ou de m’oublier »