J’attends, dans le petit couloir, assise sur les marches poussiéreuses. La lumière s’est éteinte et j’en ai assez de me lever pour la rallumer. De toute façon, les lampadaires de la rue, à travers les vitres sales couvertes des filaments d’une toile d’araignée, m’éclairent suffisamment. Je me sens soudainement prise d’affection pour cet immeuble bruyant…Lire la suite de « Post-it [Et puis mon coeur dans son appartement] »

Mes phrases se retrécissent et se terminent en points de suspension. J’avais la tête baissée sous la pluie quand le goudron s’est brutalement éclairé… Sans transition, l’irruption du clair dans l’obscur n’en était que plus belle. J’ai lu machinalement la pancarte d’un bar, qui annonçait fièrement “ici : cassoulet, whisky, ping pong”… J’aime ces détails…Lire la suite de « Je ne fais que passer »