J’attrape précautionneusement mon téléphone portable pour lire l’heure. Il est 3 heures du matin. Je réprime un soupir en me rallongeant. J’envie son corps détendu et sa respiration profonde, régulière. J’ai trop chaud, puis trop froid. Avec la fenêtre entrouverte le bruit des voitures me gêne, si je la ferme l’atmosphère orageuse m’oppresse. Je n’avais…Lire la suite de « parce que c’est toujours quand tu dors que j’ai envie de te parler… »