Il y a des flocons blancs légers, vaporeux, comme la neige quand elle est encore tellement proche de la pluie qu’elle en devient mousseuse, celle qui fond instantanément en touchant le sol, sans heurt perceptible, avec plus de délicatesse qu’une bulle de savon. On dirait du pollen mais, les saisons ont beau être déréglées, cette…Lire la suite de « He said you aren’t never going anywhere, I ain’t never goin’ anywhere »
Je marchais le long de la jetée au Havre. J’étais avec un garçon élancé aux cheveux blonds, jaunes serait peut-être plus approprié. [Aussi jaune que les murs de la salle de bain parentale. J’avais vivement protesté quand la salle de bains si blanche était devenue jaune, autant que le jour où la cuisine avait été…Lire la suite de « [souvenir du] 17 février 1995 »