J’étais assise derrière un siège au trou colmaté par un Malabar, récemment déposé puisqu’une traînée de salive anthracite se distinguait encore sur le dossier gris clair. Pour ne pas focaliser mon attention sur ce déchet – certains soirs, les tripes se rapprochent dangereusement de la gorge – je me perdais à travers la fenêtre, comme…Lire la suite de « Malgré les actes manqués et les rires obligatoires… »