La note précédente n’avait rien à faire ici, ce n’était qu’une lettre, de celles qui ne sont jamais postées. J’écris afin de la voir s’éloigner de mon champs de vision parce que je ne me résous pas à la supprimer. C’est bête. Je laisse le tiroir entrouvert au cas où, comme à l’époque où je…Lire la suite de « où il est question d’un médecin, d’un mélomane, d’une Barbie, de poulets, et d’un train fantôme aussi »