Je ne raconterais pas comment mon ordinateur s’éteint brutalement tous les quarts d’heure sous le poids de la chaleur, ni les sept étages à monter péniblement à cause de l’ascenseur en panne, ni le travail qui m’engloutit pendant que mes amis étudiants savourent leurs vacances, ni les cigarettes fumées en dépit du patch… (…) *…Lire la suite de « Coeur – pastèque – ascenseur »
La note précédente n’avait rien à faire ici, ce n’était qu’une lettre, de celles qui ne sont jamais postées. J’écris afin de la voir s’éloigner de mon champs de vision parce que je ne me résous pas à la supprimer. C’est bête. Je laisse le tiroir entrouvert au cas où, comme à l’époque où je…Lire la suite de « où il est question d’un médecin, d’un mélomane, d’une Barbie, de poulets, et d’un train fantôme aussi »