“Et puis si tu savais ma chérie, le silence qu’il y a la nuit… Tu te souviens comme ses ronflements m’empêchaient de dormir ? Ah je priais pour qu’il arrête de respirer ! Maintenant c’est le silence qui me donne des insomnies… Je donnerais n’importe quoi pour me réveiller et l’entendre ronfler à côté de…Lire la suite de « le contour »
(Quelques fragments entre vendredi et dimanche) Je cherchais seulement une feuille de papier pour t’écrire un mot, avant de la rejoindre. Je n’ai pas fouillé dans tes affaires, mais on ne voyait qu’elle dans ta chambre quasiment vide, cette lettre inachevée qui m’était adressée… Est-ce que ce brouillon m’attendait réellement depuis le 11 novembre 2006…Lire la suite de « Entre chien et loup : la grâce des écureuils, les noix savantes, et autres bribes »