Le vendredi et le samedi soir, j’écoute involontairement les musiques extraites des appartements voisins, réduites à un brouhaha dissonant. A la quatrième fenêtre de l’immeuble d’en face, celle que je vois si je jette un œil vers la lumière du jour ou des lampadaires depuis mon canapé, des jeunes filles en robe noire s’enroulent autour…Lire la suite de « Ce ne sera rien que des mots des mots, comme à la radio… »

Avant toute autre perception relativement claire de la réalité, je me rappelle d’avoir constaté que l’oreiller était placé à droite, c’était drôle parce que j’avais rêvé de l’Amant… En son absence, mon oreiller est toujours au centre du matelat. Je n’ai un comportement maniaque qu’avec mon lit : il doit être soigneusement bordé au fond…Lire la suite de « les amants rêvés, les détails qui deviennent mystères, les voix sans visage… »