Du flou et des contours brouillés, encore. Octobre me nargue, en changeant constamment, du bleu au blanc, de la chaleur au froid, quand je suis indéfiniment grise et tiède. J’étais obnubilée par ce voyage, pourtant je n’ai pas été déçue en l”entendant annoncer “pour Venise c’est annulé… C’est dommage”. Tant pis, une autre fois… “C’est…Lire la suite de « J’ai quinze minutes pour tartiner du vide »