Je me suis éveillée vers 7 heures du matin, un jour de congé… Sous la couette, j’ai clos mes paupières avec obstination, néanmoins mes jambes remuaient toutes seules, mes bras se crispaient, comme si mon corps était impatient de se lever. Rien ne m’y obligeait, mais j’ai tellement l’habitude du stress intermittent de la perfectionniste…Lire la suite de « Texte (inutile) explicatif, en attendant… »
Dés que j’éteins la lumière, le jour écoulé s’effrite dans mon crâne : conversations, sensations, projet se culbutent les uns les autres, et il me manque le souffle nécessaire pour les disperser harmonieusement. Quand enfin je m’endors, je me réveille brutalement à cause de ma bronchite automnale (celle qui précède la bronchite hivernale, au printemps…Lire la suite de « Où il est question d’une Grenelle qui pépie, d’une aube interminable, de mots qui n’entrent pas dans des serrures, d’une nostalgie au conditionnel, d’un cerveau sain dans un corps désarticulé, et de souffle automnal surtout* »