Résumons, résumons, au moins superficiellement, les semaines passées. Janvier et février étaient les mois des atermoiements et de la redondance du moi. Je n’aurais pas dû, je ne pourrai pas, je devrais redevenir caissière ou trouver n’importe quel job alimentaire, j’ai eu tort de croire que, je me suis surestimée, de toute évidence je suis…Lire la suite de « Dans un ciel très haut flottaient deux petits nuages effilochés * »

Du flou et des contours brouillés, encore. Octobre me nargue, en changeant constamment, du bleu au blanc, de la chaleur au froid, quand je suis indéfiniment grise et tiède. J’étais obnubilée par ce voyage, pourtant je n’ai pas été déçue en l”entendant annoncer “pour Venise c’est annulé… C’est dommage”. Tant pis, une autre fois… “C’est…Lire la suite de « J’ai quinze minutes pour tartiner du vide »