J’attends, dans le petit couloir, assise sur les marches poussiéreuses. La lumière s’est éteinte et j’en ai assez de me lever pour la rallumer. De toute façon, les lampadaires de la rue, à travers les vitres sales couvertes des filaments d’une toile d’araignée, m’éclairent suffisamment. Je me sens soudainement prise d’affection pour cet immeuble bruyant…Lire la suite de « Post-it [Et puis mon coeur dans son appartement] »