Mes jours de congé étaient tristes. La nicotine rythmait les quarts d’heure, la bière fraiche les phrases, la musique les silences. Le petit cachet pateux sous la langue signait le début de la nuit et le café au lait sa fin, entre il y avait des étreintes et peu de rêves, car mes insomnies reviennent….Lire la suite de « Où il est question de chute, d’étoile, d’entrailles et de lucarnes »