La note précédente n’avait rien à faire ici, ce n’était qu’une lettre, de celles qui ne sont jamais postées. J’écris afin de la voir s’éloigner de mon champs de vision parce que je ne me résous pas à la supprimer. C’est bête. Je laisse le tiroir entrouvert au cas où, comme à l’époque où je…Lire la suite de « où il est question d’un médecin, d’un mélomane, d’une Barbie, de poulets, et d’un train fantôme aussi »
Les gens sortent toujours du métro avec une lenteur exaspérante. Les néons m’éblouissent. Je fixe le tunnel obscur de la ligne D et lui aussi semble défiler au ralenti. J’ai l’impression qu’il est minuit et que je rentre d’une soirée où j’aurais trop bu. En fait il est 8 h 20, ma journée de travail…Lire la suite de « Où l’on suit le quotidien sans grand intérêt d’une fille déphasée, et comment l’on apprend les avantages et les inconvénients de son travail, note agrémentée de quelques diversions inutiles à propos d’à peu près rien. »