Le soir de la Saint-Valentin, je suis entrée chez un fleuriste pour recevoir un colis. La pièce était minuscule et encombrée, pleine d’angelots suspendus, des torrents miniatures sortaient de la bouche d’animaux en pierre… Etrangement, ce n’était pas fatigant à contempler. Chacun des éléments pris séparément m’aurait semblé grotesque, mais l’ensemble était agréable, chaleureusement douillet,…Lire la suite de « le 14 février 2007 entre 18 h 32 et 19 h 33 environ »