Les feuilles ne sont pas encore mortes, ou si peu, mais elles agonisent dans les pins longilignes parsemés de tâches rousses. La semaine dernière, j’avais les doigts glacés, la toile de mon jean était raide et froide contre mes jambes. Je tenais un parapluie fin rempli d’épingles à nourrices qui cliquetaient dans le vent, prêté…Lire la suite de « Celui qui, tout au long de la journée est : actif comme une abeille, fort comme un taureau, laborieux comme un cheval et qui, le soir venu, est crevé comme un chien ; devrait consulter un vétérinaire, car il est fort probable que ce soit un âne !* »
La note précédente n’avait rien à faire ici, ce n’était qu’une lettre, de celles qui ne sont jamais postées. J’écris afin de la voir s’éloigner de mon champs de vision parce que je ne me résous pas à la supprimer. C’est bête. Je laisse le tiroir entrouvert au cas où, comme à l’époque où je…Lire la suite de « où il est question d’un médecin, d’un mélomane, d’une Barbie, de poulets, et d’un train fantôme aussi »