Quand elle ouvrait la porte de la chambre 18, j’étais assise sur le lit, immobile. Il semblait impossible de me déranger puisque je n’avais rien à faire. Je me contentais d’attendre, ce qui en soi ne me changeait pas de l’année précédente, ni de la suivante d’ailleurs, sauf qu’ici je savais précisément ce que j’attendais….Lire la suite de « L’un de mes jours d’après* »
Au début, ce n’était rien de plus que de la lassitude. Elle avait encore passé la journée à pleurer, blottie sur son lit, toujours assise exactement au même endroit, à tel point que le matelas était déformé. Comme d’habitude, elle avait essayé de lire, mais les mots passaient dans sa tête comme des lettres séparées…Lire la suite de « Elle »