Le vendredi et le samedi soir, j’écoute involontairement les musiques extraites des appartements voisins, réduites à un brouhaha dissonant. A la quatrième fenêtre de l’immeuble d’en face, celle que je vois si je jette un œil vers la lumière du jour ou des lampadaires depuis mon canapé, des jeunes filles en robe noire s’enroulent autour…Lire la suite de « Ce ne sera rien que des mots des mots, comme à la radio… »

C’était mercredi en début d’après-midi, lorsque la chaleur qui augmentait jour après jour depuis la semaine précédente avait atteint son apogée. Elle s’immisçait entre les mouvements qu’elle alourdissait… Même battre des cils devenait une corvée. Les passants étaient luisants à cause de la sueur : elle dévalait certains visages, ou se figeait en gouttes tremblotantes…Lire la suite de « Mercredi 17 juin 2009, entre 15 et 16 heures, avant et pendant la pluie »