D’habitude, lorsqu’il rentre à la maison après avoir passé la journée chez sa nounou, Le Boutchou commence par enlever son manteau et ses chaussures pour enfiler ses chaussons (puis s’applaudir après avoir réussi à les mettre seul, même s’il sait le faire depuis un an). Cette fois-ci, il s’est précipité vers le bureau de son père en criant « papa ! ». Puis il a constaté, dépité : « oh non ! Papa pati ». Je lui ai redit qu’il reviendrait dans quelques jours. Nous lui avions bien expliqué la situation le jour de son départ. Oui mais quelle notion a-t-on du temps à 27 mois ? Ma mère aussi m’avait rassurée avant de me quitter. Je ne m’en rappelle pas mais je suis certaine de n’avoir rien compris. Sinon je suppose que je n’aurais pas cessé de dormir ni de manger. Je ne me serais pas sentie responsable de sa gigantesque cicatrice pendant les vingt années suivantes non plus. Heureusement, le contexte n’était pas le même. On ne peut pas comparer un voyage professionnel en Europe et une hospitalisation à l’autre bout du globe terrestre, une absence d’une semaine et une séparation de six mois, y compris pour un tout petit… enfin j’espère. Et puis lui, au moins, il aura la chance de le voir et de lui parler sur Skype. Néanmoins, l’expression sur son visage en découvrant la chaise vide m’a attristée.
J’ai relativisé la situation car Le Boutchou exagère ses émotions ces derniers temps. Il dit rarement « oui » ou « non », à part quand il s’agit de ses besoins naturels (tu veux aller sur le pot ? Tu as encore faim ?). Sinon, il s’exclame « oh oui ! » sur un ton enthousiaste comme si tous ses souhaits se réalisaient, ou « oh non ! » comme si un drame atroce se produisait sous ses yeux. Est-ce que tu veux jouer à la pâte à modeler ? « Oh oui ! » On va prendre un bain : « Oh oui ! » Boum le poupon est tombé. « Oh non ! » Il y a une crotte de chien sur la chaussée : « Oh non ! » (il n’avait pas marché dedans, pour lui un caca sur la route est hideux). C’est un petit peu exagéré. Si par hasard quelque chose cloche (le lapin blanc n’est pas à l’endroit prévu, les piles du jouet ne fonctionnent plus…) il répète : « ho ho ? Mais, mais, mais ! », sourcils légèrement froncés et moue concentrée. Quand il est en colère parce que je refuse de lui donner un biscuit un quart d’heure avant son repas par exemple, monsieur jette des objets par terre en gémissant avec une grandiloquence de tragédien… Et rigole cinq minutes après parce que Le Chat vient le chatouiller avec ses moustaches. J’en arrive à me demander : est-ce que les enfants surjouent leurs émotions ou est-ce l’habitude qui rend les adultes indifférents ? En tout cas, à travers cette maîtrise des tons de voix, des mimiques et des gestes, je vois apparaître le petit garçon derrière le bébé, progressivement, comme ces images qui contiennent deux formes différentes dans un même dessin.
J’ai compensé l’absence en jouant longuement avec lui, à la pate à modeler, aux petites voitures, aux gommettes à coller, et au cache cache sous les draps de notre lit puisque ce dernier jeu provoque toujours son fou rire. Après je lui ai demandé de choisir le livre à regarder ensemble avant de dormir. Depuis quelques semaines, le rituel est le même : d’abord, il part poser un à trois livres issus de sa bibliothèque sur son petit chariot roulant (j’ai bien écrit « un à trois livres » et nous parlons de livres pour tout petits, autrement dit, il serait tout à fait capable de les prendre entre ses mains… mais non, telle la bibliothécaire que j’étais quand j’avais cinquante livres à remettre en rayon, Le Boutchou a besoin d’un chariot… Enfin la paresse est le défaut partagé par l’ensemble de la famille de toute façon, je suis d’origine corse après tout). il prend son temps pour les sélectionner, le choix n’est clairement pas fait au hasard. Ensuite, il baisse les stores de notre chambre, puis il enclenche le ventilateur (que nous n’utilisons qu’en plein été habituellement, donc la dernière fois que nous l’avons mis en marche pour dormir c’était probablement en août dernier ; je lui ai signalé qu’il ne faisait pas particulièrement chaud dans la chambre mais il s’en moque). Enfin, il allume la lampe de chevet avant de se nicher dans mes bras. Il n’y reste pas longtemps car à chaque page, il tient à reproduire les images. Prenons Bonsoir lune : un nounours est assis sur une chaise ? Le Boutchou va chercher un nounours en peluche et le pose sur une chaise. Il y a un téléphone sur une table ? Il va prendre le téléphone (« ayo ayo ») et le poser sur la table qui ressemble le plus à l’image, et ainsi de suite. C’est à la fois attendrissant (il me montre qu’il comprend voire qu’il vit les images) et fatiguant (j’aimerais bien aller au bout de ma lecture sans être interrompue sans arrêt bordel !).
Enfin, je décrète qu’il est temps de dormir. Il crie « oh non ! » mais il se résigne rapidement. Nous choisissons le doudou préféré du moment (mon fils ne s’est pas trouvé un doudou exclusif malgré mes efforts, il a un jouet favori pour dormir pendant une durée indéterminée, six mois ayant été le maximum à ce jour avec un poupon qu’il a complètement abandonné depuis) et je les mets tous deux dans le lit à barreau… Lit qu’il va falloir changer maintenant que mon petit garçon l’escalade, et qu’il nous réveille parfois au milieu de la nuit parce qu’il a envie de faire pipi tout en refusant de mouiller sa couche. Je dois acheter un matelas de la bonne taille depuis plusieurs mois… mais l’imaginer se lever et se promener dans l’appartement à sa guise m’inquiète. « Il y aura bien un moment où tu devras lui faire confiance », commentait mon amoureux. Oui mais… C’est encore un bébé quand même, qui réclame mes bras, qui est capable de tourner le bouton de la plaque de cuisson afin de faire cuire des légumes en bois dans une mini casserole en plastique, qui monte le thermostat du chauffage quand j’ai le dos tourné… bref, un minot capable d’une multitude de bêtises dangereuses. En attendant, je l’entends me susurrer « bonne nuit mômman » tandis que je referme la porte.
Dans la salle à manger, seul résonne le grondement sifflant de mon ordinateur. Il vit sans doute ses derniers mois. Il aura surmonté des épreuves difficiles. Un matin, je m’étais réveillée sur mon canapé rouge, l’ordinateur encerclé de bouteilles vides. Quelque chose d’indéterminé recouvrait le clavier. Je ne me souvenais de rien. Je croyais avoir renversé mon repas dessus, jusqu’à ce que Monsieur le réparateur d’ordinateur me demande au téléphone : « honnêtement, qu’est-ce qu’il s’est passé ? (honnêtement je n’en sais rien) Ce ne serait pas du vomi sur le clavier ? » Ah maintenant que vous le dîtes, tout s’explique… Certaines des touches ont également été déformées après avoir été confondues avec un cendrier. C’était avant le retour de l’amoureux, avant l’enfant, si loin, si près, si glauque.
J’ai faim et comme souvent quand je suis seule, je n’ai aucune envie de cuisiner. Si Le Boutchou n’avait pas été fiévreux, si je ne l’avais pas couché aussi tôt, j’aurais fait l’effort de nous préparer un repas commun. Là, je fouille dans les placards à la recherche d’un truc prêt à être ingurgité. Je tombe sur un sachet de nouilles instantanées, plein de glutamate et de mots qui m’évoquent des formules chimiques. Etrangement il n’est pas périmé. Il y a pourtant longtemps que je n’ai pas mangé ce genre d’aliments. j’en ai tellement avalé durant quelques années que j’ai atteint la phase de saturation. Nous en consommions souvent aussi avec L. quand elle était ma colocataire. Je nous revois au dessus de la minuscule plaque de cuisson (impossible de cuisiner dans ce recoin de toute façon) faire chauffer l’eau à l’aide de la bouilloire électrique tout en découpant l’emballage au ciseau. En ce temps là, je ne lisais pas les étiquettes. Enfin si, je les déchiffrais comme les paquets de céréales sur la table de la cuisine lorsque j’étais gamine, machinalement, sans m’intéresser à ce qu’elles signifiaient. Ma santé m’indifférait de toute façon.
Un jour en début d’après-midi, sans doute au printemps (le soleil réchauffait les tomettes aixoises sous mes pieds nus), nous avons trouvé deux comprimés dans le frigo sous la plaque de cuisson et nous les avons avalés avec un verre d’eau, naturellement. Quelques heures plus tard, des amis nous ont rendu visite à l’improviste. Face à nos pupilles noires immenses, ils se sont exclamés : « mais vous êtes folles les filles, prendre des ecsta comme ça, à quatorze heures, toutes les deux, mais… pourquoi ? » Pour rien, ou pour alléger l’après-midi, je suppose après coup. C’est toujours dans le regard d’autrui que je comprends la gravité qu’une situation peut avoir pour « les gens ». Peut-être est-ce la raison pour laquelle j’ai préféré les métamorphoser en morts-vivants, en individus irréels inatteignables à un moment donné finalement… pour ne pas percevoir leur inquiétude, leur malaise ou leur jugement. Si loin, si près, si glauque.
Sur la table basse, le livre contenant les photographies de mon fils est entrouvert. Il veut souvent le regarder. Il pointe du doigt les photos en commentant : « bébé dodo », « bébé repas », « bébé bain ». Comme il sait prononcer son prénom pour se désigner, j’en déduis qu’il ne se reconnaît pas, même si je lui répète que c’est lui quand il était encore plus petit que maintenant (que c’est lui quand il était plus petit ou que c’était lui quand il était plus petit…? J’hésite quant à la concordance des temps, « c’était lui » sonne mieux mais c’est toujours lui mine de rien). Je les regarde en buvant mon bouillon pimenté (en fait, dans les nouilles instantanées, ce que je préfère c’est le bouillon). Physiquement, il est de plus en plus beau. Mon fils est tellement beau. Combien de parents ont prononcé cette phrase ? Oh je sais, mais il y a une telle différence entre le fait de la lire, de l’entendre, et de la ressentir.
Même ses yeux me semblent magnifiques. Pourtant, ils sont toujours d’une couleur indéfinissable. A la naissance déjà, il n’avait pas les yeux bleus. Nous disions tour à tour : bleu marine ? Gris foncé ? Ardoise bleutée suggérais-je, sans être bien certaine de me (faire) comprendre. Je pensais à ce bout d’ardoise, débris d’une toiture cassée, que j’avais trouvé petite, et sur lequel la pluie et je ne sais quoi avaient fait apparaître un filet d’arc-en-ciel. Ils ont changé de couleur entre temps, comme prévu. Néanmoins, dans le couloir de la maternité, comme dans mon appartement la semaine dernière, ma mère, après les avoir scrutés intensément, me demandait mi perplexe, mi étrangement agacée : « bon mais finalement, ils sont de quelle couleur ses yeux ? » Quelque part entre le vert, le marron, le noisette et le bleu foncé…? Sur les photos, ils ont souvent l’air noir, à tort. De toute façon, ni son père ni moi, nous n’avons des yeux de couleur « franche ». Rien d’étonnant, donc, à ce que la couleur des yeux de notre enfant soit imprécise. Malgré tout, chez lui, elle est encore plus indéterminée, comme si un peintre indécis avait mal étalé plusieurs couleurs différentes sur chaque iris. A l’heure actuelle, nous ne saurions quoi écrire face à la ligne « couleur des yeux » dans un passeport. Quoi qu’il en soit, elle sera sans doute vite oubliée de la majorité de ses interlocuteurs. Son père peut en témoigner. C’est un phénomène que j’ai certainement déjà écrit ici, et un test que j’ai fait à plusieurs reprises. On peut mettre de nombreux interlocuteurs devant mon amoureux. Si, ensuite, alors qu’il a le dos tourné, on leur demande : « de quelle couleur sont ses yeux ? » Ils répondront « marron » pour ne pas avouer « je ne sais pas ». Ils sont pourtant bleus, d’un drôle de bleu certes, mais bleus quand même… avec des filaments oranges. C’est drôle car lors de notre première rencontre, seuls ses yeux me plaisaient. J’ai eu rapidement l’impression d’être une sorte d’élue, la seule qui voit la pierre précieuse là où les autres ne voient que des cailloux. J’aime l’idée de devoir les observer longuement pour en saisir toutes les nuances, ceux de mon amoureux comme ceux de mon fils. Mais ces derniers sont encore plus beaux de part leur forme légèrement en amande, outre les longs cils que nous lui avons tous deux transmis.
Ses bouclettes font l’unanimité en revanche. J’avais les mêmes à son âge. J’espère qu’il les conservera plus longtemps que moi. Sa bouche a longtemps été déformée par une lèvre gonflée à force d’être têtée assidument. Sa pédiatre lui avait dit : « tu es le deuxième bébé que je vois se téter la lèvre dans toute ma carrière, faudrait faire une étude à ce sujet ! » Pas besoin d’étude pour comprendre qu’il se sécurisait ainsi, comme d’autres utilisent leur pouce, une tétine ou un doudou à suçoter. Il le fait moins maintenant, alors sa lèvre reprend sa forme initiale. A sa naissance, la sage-femme prétendait : « il a la bouche de sa maman ». C’était faux, néanmoins elle est pulpeuse comme la mienne. Il a les oreilles légèrement décollées de son père, mais quelque part cette imperfection physique est rassurante… Non parce que sinon, tant de beauté, ce serait presque inhumain. Il a toujours ses joues rondes de bébé, celles que je n’ai jamais perdues. En revanche, il n’y a plus le moindre bourrelet sur son corps maigrichon qui n’en paraît que plus fragile. Les passants continuent à l’appeler « elle », « ma biquette », « petite chérie » et autres surnoms affectifs destinés aux filles, malgré ses cheveux courts, son jean, ses baskets et son manteau rouge vif. Lasse de leur préciser qu’il s’agit d’un garçon et de les entendre répondre, au choix : « il est gracieux pour un garçon », « il a les traits fins pour un garçon », « il est beau pour un garçon » (?!)… je les laisse se tromper, quelle importance au fond.
Le 21 novembre 2010, ici, je me demandais : « à quoi penserai-je et quels souvenirs me reviendront à l’esprit, face au jour, face à la lune, quand je serai obligée de rester durant des années auprès de l’enfant qui partagera mon quotidien…? » Trois ans et trois mois et demi après, Je n’ai pas encore la réponse en intégralité. Les matinées avec lui sont différentes mois après mois. Récemment, alors qu’un ami me proposait de venir me voir, je me souvenais de sa dernière visite quand Le Boutchou se déplaçait en roulant sur lui-même sur son tapis d’éveil. Notons qu’à l’époque, je remarquais que c’était une méthode de locomotion sans doute fatiguante et parfois douloureuse mais néanmoins très efficace, il me suffisait de détourner les yeux quelques minutes pour le retrouver à l’autre bout du salon. Le mois dernier, je constatais qu’il refusait de dire « bonjour ». Maintenant chaque matin, j’entends « bonjour mômman ». Et je n’en finis pas de me réjouir à l’avance en pensant aux souvenirs qui me reviendront à l’esprit, face au jour, face à la lune, au fur et à mesure de sa croissance. Mon fils, mon bébé, mon petit garçon, mon futur adolescent, mon imprévisible adulte, mon Boutchou. Si loin, si près, si rassurant malgré tout.
* Le Boutchou, peinture à doigts, novembre 2013. (Comme j’ai décidé de ne pas mettre de photos de mon fils sur Internet, j’ai choisi de montrer ses dessins à la place).
Je me souviens, pour ses deux ans, on a offert son lit de grande à Cro-Mi (un futon posé sur un tatami). J’hésitais entre la peur qu’elle se fracasse la tête en tombant du lit à barreaux et celle qu’elle débarque à toute heure de la nuit pour nous squatter (ce qu’elle n’a pourtant jamais fait de sa vie !).
Finalement elle a mis pas loin de 6 mois à réaliser le combo : allumer sa lumière, se lever et ouvrir sa porte, alors qu’elle savait faire chacun des trois 😀
Il a l’air magnifique, ton fils.
On a acheté un lit convertible, ces lits avec un tiroir en dessous (qui peut théoriquement servir de lit supplémentaire même si je l’ai choisi pour avoir un rangement de plus). Par conséquent, nous n’aurions pas pu faire le changement à 2 ans, il risquait quand même de tomber sans les barreaux. Mais il avait 2 ans lorsqu’il est tombé en escaladant les barreaux pour la première et la dernière fois à ce jour. J’en avais parlé à sa nounou qui avait accueilli la nouvelle de manière très relax (ça m’avait impressionnée !) : « ils tombent une fois, deux fois, ensuite ils comprennent et ils ne l’escaladent plus ». Elle m’avait conseillé d’attendre 2 ans et demi voire 3 ans avant de passer au grand lit, « car ils comprennent tout aussi vite qu’ils peuvent sortir de leur lit comme ils en ont envie ». Avec ses 20 ans de métier, ses 4 enfants et ses 3 petits enfants, je supposais qu’elle savait de quoi elle parlait. Mais là, ce serait dommage de freiner son apprentissage de la propreté nocturne, autant qu’il puisse aller aux toilettes seul la nuit aussi s’il le souhaite. Je ne pense pas qu’il débarque dans notre chambre la nuit car il n’a jamais dormi avec nous. A sa naissance, mon chat représentait un trop grand danger pour envisager un cododo, et de toute manière il a fait de longues nuits seul dans son lit quasiment dés la sortie de la maternité (passée la phase où il faisait ses nuits l’après-midi). Occasionnellement, je l’ai mis dans notre lit à cause d’une grosse fièvre : la fois où il avait 40 degrés au moment de le coucher sans qu’on sache pourquoi, j’avais trop peur que ça contine à monter pendant son sommeil. Il était trop KO pour réagir mais dés que sa température s’est mise à descendre, il a voulu quitter notre lit pour aller dans le sien. En revanche, je l’imagine bien décider de jouer au lieu de dormir, ou profiter de notre sommeil pour faire une bêtise même s’il a tout à fait conscience des interdits. J’espère que comme la tienne, il me surprendra en mettant quelques mois avant d’oser s’avanturer hors de sa chambre.
Je sais bien que je le vois avec un regard de mère… Néanmoins oui, il est objectivement magnifique ! :-)Je peux t’envoyer des photos par mail si tu veux… ? (Il me semble qu’en plus j’avais déjà prévu de le faire après sa naissance, quand tu souhaitais « être présentée », sans passer à l’acte).
Oh oui oh oui oh oui je veux bien des photos !!!
Et pour le sommeil, je suis très pour : chacun dans son lit et les cochons seront bien gardés, hein. 😉
Photos envoyées !
Parfaitement d’accord avec toi.
Ah mais j’ai rien reçu !!! L’adresse sacripanne fonctionne plutôt mal, est-ce que tu peux retenter sur anne at chiboum point net, steuplé ? Merci !!!
C’est fait ! J’espère que tu les recevras cette fois-ci.
Rien à partager côté lits à barreaux.
Mais fichtre, Junko, j’ai retrouvé dans ton style d’écriture de cette note son lustre d’antan.
🙂
C’est une remarque agréable vis à vis des notes précédentes, dis donc ! :p
Je ne sais pas ce qu’elle peut avoir de plus ou de moins qu’une autre, mais je ne suis pas certaine de savoir me lire de manière objective de toute façon, en tout cas certainement pas avec ton regard à toi en particulier.
Au fait de quand date-t-il exactement, ce « lustre d’antan » ?
c’est agréable de te lire à nouveau (ça donne envie)
la description de ton fils est la même que celle que je ferais du mien, c’est troublant (mis à part la couleur des yeux qu’il a franchement noisettes)
des bises
Merci.
Oui, j’avais déjà remarqué des points communs au gré des tweets et des photos. C’est troublant, en effet. Et puis, s’il faut vraiment rapprocher la couleur de ses yeux d’une couleur bien établie, « noisette » est sans doute ce vers quoi ça tend. En revanche, pour ce que j’ai pu en voir, ton fils a les cheveux encore plus bouclés que le mien.
Bises