Vous pouvez suivre la discussion sur Où il est question d’une Grenelle qui pépie, d’une aube interminable, de mots qui n’entrent pas dans des serrures, d’une nostalgie au conditionnel, d’un cerveau sain dans un corps désarticulé, et de souffle automnal surtout* sans avoir à laisser un commentaire. Chouette, pas vrai ? Entrez simplement votre adresse email dans le champ ci-dessous.