Résumons, résumons, au moins superficiellement, les semaines passées. Janvier et février étaient les mois des atermoiements et de la redondance du moi. Je n’aurais pas dû, je ne pourrai pas, je devrais redevenir caissière ou trouver n’importe quel job alimentaire, j’ai eu tort de croire que, je me suis surestimée, de toute évidence je suis…Lire la suite de « Dans un ciel très haut flottaient deux petits nuages effilochés * »