Il frappe à la porte sans raison puisqu’il l’ouvre simultanément. Il a l’air contrit d’un individu qui s’apprête à présenter ses condoléances. Il me lance : “bonjour malheureusement je viens avec de mauvaises nouvelles mais si je vous dérange je peux attendre que vous ayez terminé il n’y a rien d’urgent”. D’après son débit rapide,…Lire la suite de « Entre conclusion et préambule »