Je les rencontre rarement, disons trois ou quatre fois par an, mais je les reconnais avant même de les avoir vus, indépendamment de leurs différences physiques. Leurs pas sont hésitants dans le couloir, puis ils frappent à la porte de la bibliothèque, ce que les habitués ne font jamais (eux savent que la porte est…Lire la suite de « La jeune femme silencieuse qui s’assoit sur la banquette en regardant les rosiers tous les jours de 9 heures à 11 heures du matin environ »