Le vendredi et le samedi soir, j’écoute involontairement les musiques extraites des appartements voisins, réduites à un brouhaha dissonant. A la quatrième fenêtre de l’immeuble d’en face, celle que je vois si je jette un œil vers la lumière du jour ou des lampadaires depuis mon canapé, des jeunes filles en robe noire s’enroulent autour…Lire la suite de « Ce ne sera rien que des mots des mots, comme à la radio… »