[…] Le monde entier me paraît semblable à une petite pièce étroite et familière. Tous les matins je la décore et j’abats des cloisons, tous les soirs elle renaît telle qu’elle était la veille. (…) J’en demande peut-être trop. Ou alors je n’attends plus rien… […] Je fais tournoyer le verre, des serpentins dorés lumineux…Lire la suite de « The sunrise, the sunset, you’re hopeful and then you regret The circle never breaks With a sunrise and sunset, there’s a change of heart or address Is there nothing that remains? »

Je ne veux pas, ou je ne sais pas, poser les accents, placer des nuances, m’étendre, déborder, raccrocher les mots les uns aux autres, leur donner un sens, longuement soigneusement… Le soir venu, il ne reste presque rien de mes journées : quelques sons, une température, des couleurs dissociées… Je les traverse sans les mémoriser….Lire la suite de « Dîtes-leur de m’attendre ou de m’oublier »