Les gens sortent toujours du métro avec une lenteur exaspérante. Les néons m’éblouissent. Je fixe le tunnel obscur de la ligne D et lui aussi semble défiler au ralenti. J’ai l’impression qu’il est minuit et que je rentre d’une soirée où j’aurais trop bu. En fait il est 8 h 20, ma journée de travail…Lire la suite de « Où l’on suit le quotidien sans grand intérêt d’une fille déphasée, et comment l’on apprend les avantages et les inconvénients de son travail, note agrémentée de quelques diversions inutiles à propos d’à peu près rien. »

J’avais écrit de longs brouillons racontant mes journées, mais en fait, non, je n’ai pas envie de les poster, parce que dans ces longues phrases il n’y a rien finalement. Ce n’est qu’un enrobage, la coquille que je n’arrive pas à percer. J’ai choisi d’être seule pendant ces deux jours pour la première fois depuis…Lire la suite de « ça n’a pas ou peu d’importance ce n’est qu’une zone de turbulences »