Même les mots n’intensifient plus rien, ils s’évaporent, absorbés dans mes veines malades, ou dans les noeuds de mon estomac. Informations, idées, projets, possibilités, tout se transforme en bouillie régurgitée ; l’absence de volonté élimine toute pensée claire. Impossible de rester droite, trop oppressée, la position foetale devient un réflexe, j’en oublierai presque d’avoir l’air….Lire la suite de « Grand guignol »